Trouble du sommeil et Sophrologie, Sophrologie et Insomnie Partie 1










Troubles du sommeil et Sophrologie, Sophrologie et Insomnie partie1
Extrait d'un article sur SANTE-INTEGRATIVE


luneIl faut savoir que “l’effort” pour dormir écarte le sommeil ! Si après 30 mn, on ne s’endort pas, il vaut mieux se lever, lire, regarder la télévision plutôt que de se retourner dans son lit. On peut aussi, bien entendu, consulter son sophrologue qui pourra proposer une alliance sophronique avec deux approches différentes : 

Une approche symptomatique : les séances porteront alors sur le traitement du symptôme avec une approche comportementale, sophronisation, visualisation positive de l’endormissement, repérage des rythmes et conseils d’hygiène. 

- Une approche existentielle avec des séances de relaxation dynamique avec oubli du symptôme. On ne parle plus sommeil. L’interaction corps-esprit sera favorisée (concentration sur un objet neutre, ancrage présent). 

Les enjeux et les bénéfices de l’intervention du sophrologue porteront donc sur l’amélioration de la qualité de vie du quotidien en gérant mieux ses activités ce qui débouchera sur un vécu nettement plus positif, sur la restauration de la confiance de l’insomniaque dans sa capacité à dormir (relativisation du problème et amélioration de l’image de son sommeil) et sur l’amélioration de la qualité du sommeil et du réveil. 

Pour mener à bien sa mission, le sophrologue dispose de différents outils : 

La sophronisation : le client du sophrologue va vivre une séance de “lâcher-prise” qui vise à détendre, un à un, les muscles du corps. Il s’agit ici de renforcer la présence du corps dans la conscience tout en se libérant de toutes les tensions corporelles. Précisons qu’il ne s’agit pas de “visualiser” le corps mais bien de ressentir les messages et les sensations qu’il nous adresse. Cette sophronisation, qui nous amène dans un état de conscience modifiée, juste au bord du sommeil, est donc fondamentale dans le traitement du trouble du sommeil. Les sensations musculaires encore vives stimulent le cerveau qui ne déclenche pas le sommeil. Le “lâcher-prise” permet de glisser plus aisément dans le sommeil. La détente de certaines régions de notre corps semble plus particulièrement favoriser l’endormissement : le front, les yeux, le décollement de la langue du palais (position naturelle en état de sommeil), le bassin et le périnée. Il s’ensuivra une sensation agréable de lourdeur du corps et une sensation thermique. 


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